Le jour où nous apprîmes que nous ne sommes pas neutres
La neutralité n’existe pas : ce n’est qu’une chimère. Les auteures de cet article l’ont pu constater dans un cours-atelier extrêmement intéressant intitulé « La traduction n’est pas neutre, et les gens qui la pratiquent non plus. Comment incorporer les perspectives transféministes dans la traduction », organisé par EIZIE et donné par Danele Sarriugarte Mochales et Aiora Jaka Irizar. À partir de l’affirmation formulée dans le titre, les auteures concluent qu’il existe d’autres conceptions de la traduction et de l’interprétation qui, peu à peu, se fraient un chemin et nous montrent qu’il est temps de réfléchir et de repenser certains aspects de notre profession.