Inma Errea, une journaliste dans le monde de la traduction (et dans d’autres domaines)
L’auteur de cet article a croisé le parcours d’Inma Errea (Pampelune, 1960) au moins trois fois dans sa vie. Premièrement, à l’Université de Navarre, où il était son camarade de classe à la Faculté de Journalisme. Plus tard, à la Télévision Basque, où tous les deux étaient reporters de la rue. Finalement, les deux ont travaillé dans le monde de la traduction, au sein d’institutions distinctes mais proches. On pourrait se demander ce que fait une journaliste dans cette profession. Et bien, cela ne devrait pas être très étrange chez quelqu’un qui considère la traduction comme « un mode de communication ». Maintenant, Inma Errea, qui n’est ni journaliste ni traductrice mais toujours communicatrice, se trouve à la tête du Service d’Euskara de la municipalité de Pampelune. Elle continue de se battre, sans relâche, maintenant contre des ennemis plus redoutables que la syntaxe et le vocabulaire étrangers.