De la machine à écrire aux mémoires à traduction
Andoni Sarriegi Eskisabel

Traduction: Edurne Alegria

Résumé

Profitant de l'invitation de mon collègue et membre de l'association EIZIE, Karlos del Olmo, je vous fait part ici de certaines de mes expériences liées à ma vie de traducteur, les problèmes initiaux et actuels, les résultats obtenus, mes réflexions, etc. En un mot, mes expériences dans le monde de la traduction et de l'euskara. Dans cet exposé, j'ai essayé de montrer les différentes situations linguistiques que j'ai vécues personnellement, mais qui probablement ont été aussi vécues par les personnes bascophones de ma génération. J'ai commencé par décrire l'époque scolaire de l'incompréhension et du mépris, les années 50 et 60, où à la fin de la deuxième décennie, sont apparus au Pays Basque les mouvements en faveur de la récupération de la langue et de l'alphabétisation. Puis, dans une seconde partie, je fais part de mon époque professionnelle qui va des années 70 à 2007, où je mentionne les importantes créations fondamentales des années 70, mon changement professionnel, les travaux et les principaux résultats des années 80, les changements technologiques des dix dernières années du XXe siècle, ainsi que la Loi de l'Euskara, les profils linguistiques, leur évolution, les plans destinés à fomenter l'utilisation de l'euskara, etc. que ce soit dans les administrations publiques ou dans le monde privé.