Diodanez
Iñaki Friera

Résumé

L'objectif de l'article est de partager mon expérience de l'atelier Idazlea itzultzaileen lantegian 2009 (L'écrivain dans l'atelier des traducteurs). Ce n'est pas un travail théorique sur la traduction, mais un mélange de réflexions, de sensations, de peurs et de rires récupérés presque six mois après, organisés au rythme des 11 micro-nouvelles de Karlos Linazasoro que nous avions à traduire et à débattre. Il s'agit donc d'un regard rétrospectif, à la guise d'un exercice de rétroactivité, une liste des moments qui m'apportèrent le plus, des pas que nous fîmes progressivement, des doutes qui surgirent (et surgissent en se les rappelant), de l'assortiment que cet atelier constitua et qui me laissa un si bon goût en bouche. C'est, enfin, un remerciement à ceux qui me donnèrent l'opportunité de participer et à ceux qui, par leur travail de coordination, me firent me sentir parmi des amis rerencontrés.