Rencontres en Pologne autour de la Traduction

2019 Décembre 13
Rencontres en Pologne autour de la Traduction

EIZIE a organisé trois initiatives dans le cadre du programme Itzultzaile Berriak (Nouvelles traductrices).


Dans le cadre du programme Itzultzaile Berriak (Nouvelles Traductrices), les rencontres sur la traduction se sont déroulées cette année en Pologne. L’association EIZIE, en collaboration avec Etxepare Euskal Institutua (Institut Basque Etxepare), a mené à bien trois initiatives sous le titre de « La traduction, pont entre les cultures », afin de traiter de l’importance de la traduction dans la littérature (et la culture) basques.

L’écrivaine et traductrice Danele Sarriugarte, la traductrice Katarzyna Sosnowska, la représentante d’EIZIE Arantzazu Royo et le professeur et chercheur Aitor Arruza ont pris part à cet évènement qui a eu lieu à la fin novembre 2019.

Le premier jour – 28 novembre –, les représentantes du Pays Basque se sont rendues en compagnie d’Aitor Arruza à l’Université de Varsovie, au département Iberystyka. Après un bref entretien, ils ont pris part à un cours de traduction avec les étudiants polonais qui sont se initiés à l’apprentissage de la langue basque.

Le lendemain – 29 novembre –, a eu lieu à l’ Institutut Cervantes de Varsovie , une table ronde sur la traduction entre les langues hégémoniques et les langues minorisées. L’écrivain et traducteur catalan Abel A. Murcia, Danele Sarriugarte et Katarzyna Sosnowska ont nourri un débat aussi vivant qu’intéressant sur la traduction littéraire, sous la direction d’Aitor Arruza. Les participants ont, par ailleurs, pris connaissance de la parution du roman d’Atxaga Gizona bere bakardadean (L’homme dans sa solitude) dans sa version polonaise ; sa présentation a été faite par Katarzyna, la traductrice de l’ouvrage.

Le samedi 30 novembre, les représentants basques se sont réunis avec les traducteurs professionnels polonais au siège de l’Association des Traducteurs Littéraires de Pologne STL, autour d’un brunch, dans une séance guidée par K. Sosnowskak.

Lire la chronique de Danele Sarriugarte sur cette expérience.