Qu’y a-t-il dans l’air, qui vole ?
Le poème sur le coronavirus par Roberto Piumini en une trentaine de langues
Un « antivirus joueur » fait de mots qui traversent les frontières et volent jusqu’au quatre coins du monde pour entrer chez les petits garçons et filles. Le poème pour enfants sur le coronavirus Qu’y a-t-il dans l’air, qui vole ? (Che cos’è che in aria vola?), écrit par Roberto Piumini, l’un des auteurs jeunesse les plus aimés d’Italie, est maintenant disponible en une trentaine de langues grâce aux nombreux traducteurs qui ont contribué au projet. Ses rimes sur le coronavirus résonnent en anglais, français, espagnol, galicien, basque, allemand, russe, néerlandais, macédonien, bulgare, tchèque, suédois, norvégien, grec, danois, afrikaans, hébreu, polonais, croate, finnois et bien d’autres langues.
Ce projet résulte des efforts conjoints de la Foire du livre jeunesse de Bologne (BCBF), du Conseil européen des associations de traducteurs littéraires (CEATL), de la Fédération internationale des traducteurs (FIT) et des associations italiennes de traducteurs littéraires Strade et AITI.
Comme l’explique Roberto Piumini, « les mots sont des présents / ce sont des graines à lancer / de bonnes graines, portées par le vent, / à ceux que nous voulons aimer ». Par-delà les frontières géographiques que nous ne pouvons traverser en ce moment.
Vous trouverez le poème est ses nombreuses traductions ici (cliquez sur les tags tout en bas de la page pour voir les traductions).